Le Festival 666 lance son Merch en ligne !

Amis festivaliers,

C’est bientôt Noël et on galère tous pour les cadeaux en ligne SURPRISE !

Vous avez vu comment nos assistants stagiaires ont l’air contents sur cette photo ?


C’est parce que nous avons le plaisir de vous annoncer que nous ouvrons notre MERCH EN LIGNE !

c’est juste ici : https://www.festival666.com/store/

Vous pouvez dès maintenant acheter votre T-Shirt édition limitée « 2020 ça aurait pu être bien » et bien d’autres !


En achetant notre Merch, vous aiderez le Festival à préparer une édition 2021 encore plus folle.

Et comme le dis notre trésorier Louis, ils ne vous rendront pas plus beau mais vous aurez un max de style.

Achète ton prochain cadeau de noël juste ici : https://www.festival666.com/store/

Le Kave Fest : petit festival entre amis !

Sélim Hadriche, président de l’asso La Kave

Avec ses 4 éditions au « kompteur », le Kave Fest voit les choses en grand pour son édition 2021. Sélim, président de l’association, nous raconte comment il en est arrivé là dans l’entretien qui suit.

Peux-tu s’il te plait nous raconter l’histoire de ton festival ?

Le début du Kave Fest est parti d’un délire entre potes. Nous (association La Kave) avions pour objectif de faire une grosse fête dans mon jardin perso. Grace à mon experience au sein d’un groupe et des contacts que notre bande d’amis avait, on a pu faire venir 7 groupes, et une centaine de personnes la première fois.

Avec le plaisir que cela nous a procuré, on a remis ça l’année d’après, et les 3 années qui ont suivi.

Depuis 2016, 4 éditions du Kave Fest on eu lieu dans ce petit jardin de banlieue parisienne, et maintenant la Kave, toujours constituée de la meme bande de potes, décide de se consacrer plus sérieusement a l’organisation du festival

Comment est organisée l’équipe du Kave Fest ? Comment son répartis les rôles au sein de l’équipe ?

La première chose à savoir c’est que nous sommes une association loi 1901 constituée de nombreux membres. Tous des amis de longue date.

Le Krew, notre équipe, organise tour les mois une réunion ou les objectifs et un point d’avancement son présentés, et chacun s’exprime sur ce qu’il peut/veut faire ce mois ci.

Concernant la prise de décision, chacun est libre de suggérer une idée, puis on mesure la faisabilité, et si c’est faisable, on vote. C’est notament comme ça qu’est pensée l’affiche, le lieu de festival et beaucoup d’autres aspects du fest.

Comment sélectionnes-tu les groupes qui constituent l’affiche du festival ?

On souhaite avoir une affiche la plus variée possible. Comme nous sommes nombreux, forcement personne n’aime le même style, certains ne sont même pas grands fans de metal. L’idée est donc de faire une affiche ou tout le monde y trouve son compte, mais aussi où tout le monde peut y faire de belles découvertes !

De ce fait, on a très peu de metal extrême, et pas mal de groupes assez originaux, dont la musique fait échos avec d’autres styles.

Le booking se fait a partir de ce critère et on complète les créneaux afin d’obtenir une bonne variété de styles musicaux pendant le fest.

Comment as-tu vécu l’année 2020 en tant que jeune organisateur de festival ?

Mieux que certain, reston positif. L’avantage d’etre un jeune organisateur avec un jeune festival, c’est que nous avions très peu de frais engendrés. La Kave n’a « perdu » que 500 euros avec le report de l’édition, aucun frais important n’a réellement été engagé.

Sur le plan personnel et du temps de travail, c’est plus compliqué. Le Kave Fest est un projet qu’on travaille toute l’année, et avec cette annulation de 2020, on a eu très peur de rater notre chance de passer à la vitesse supérieure. Avec une édition 2018 et 2019 sold out, l’édition 2020 etait censée être un grand bon en avant. En esperant pouvoir avoir les résultats escomptés en 2021, on compte beaucoup sur notre Kommunauté pour ca 😉

A quoi peut on s’attendre pour l’édition 2021 du Kave Fest ?

Au résultat 2 ans de travail acharné !

Premièrement, le nouveau lieu. La Ville de Gisors et la région de l’Eure continuent de nous soutenir pour la mise en place de ce projet dans leur magnifique Chateau.

Bien sûr, une affiche étoffée, on passe de 15 à 21 groupes, mais aussi 2 jours de fest non-stop. Avec un camping, une petite taverne, une ambiance bonne enfant et conviviale !

Ce qu’on espère obtenir, c’est un public content et heureux de vivre cette experience avec nous. De voir ce petit festival dans un jardin, devenir un beau festival dans un Chateau !

Event FB : https://fb.me/e/d6ckwPGW0

À Taïwan, c’est reparti !

La vidéo ci-dessous montre l’Ultra Taïwan 2020, l’un des premiers festivals qui s’est déroulé dans des conditions normales depuis le début de la pandémie. Il s’est tenu le 14 novembre avec plus de 20,000 personnes. C’est une lumière au bout du tunnel pour l’un des secteurs les plus touchés par la Covid-19, à l’arrêt depuis mars 2020.

Avoir 18 ans et son festival de Metal en France !

Il ne lui reste qu’à transformer l’essai : après deux éditions réussies et une troisième reportée au mois d’août 2021, il a touché du bout du doigt le fameux adage «jamais deux sans trois » !

Agé de seulement 18 ans, mais rempli d’audace et bonne volonté, Victor Pépin est train de réaliser son rêve, les yeux grands ouverts, tout en poursuivant ses études. Il a eu la gentillesse de répondre librement à quelques questions.

Peux-tu s’il te plait me raconter la genèse de ton festival ?

Le festival est composé de membres très jeunes : j’avais 15 ans lorsque j’ai créé l’Association Festival 666 en septembre 2017, et aujourd’hui 50% des bénévoles ont moins de 23 ans.

On peut dire qu’il y eut deux facteurs me faisant monter en tête ce projet. 

Le premier est le Hellfest. Je m’y rends à toute les éditions, et en 2017, j’ai passé mes trois jours à la Warzone dans les pogos. J’y ai découvert ce week-end Tagada Jones et The Decline! que j’ai immédiatement adoré. Je me suis alors demandé comment avait fait Ben pour créer un tel festival, et à quoi ça ressemblerait si j’en faisais un dans mon village à Cercoux (17).

Le deuxième facteur est que nous avions accueillis à l’été 2017 pour des petits concerts dans notre jardin RavenEye, un groupe londonien. J’ai demandé à mon père pourquoi ne pas inviter un deuxième groupe en même temps. Il m’a alors répondu avec humour « là ce serait un festival qu’il faudrait faire alors ». 

J’avais donc l’idée qui germait en tête cet été la et j’en ai parlé à mes amis proches de mon collège et de mon lycée, tous partants pour me suivre ! 

En septembre 2017 je vais voir au merch Niko de Tagada Jones après leur concert à Angoulême. Je lui propose mon idée et on se sert vite la main, le projet lui a plu.

On a alors organisé la première édition du FESTIVAL 666 le 25 aout 2018 avec justement en programmation Tagada Jones et The Decline!

Comment est organisée l’équipe du Festival 666 ? Comment sont répartis les rôles au sein de l’équipe ?

Je pense que c’est plutôt commun à tous les festivals, l’équipe du festival est divisée en plusieurs pôles. Nous étions 70 bénévoles pour cette édition 2020 (qui n’a pas eu lieu).

D’une part on a une équipe qui s’occupe de la sécurité du festival et de la logistique, ensuite une équipe pour le merchandising, une autre pour la restauration sur place (foodtrucks et buvettes), une équipe qui s’occupe de la technique, une autre pour toute la partie photographes, une autre équipe s’occupe de l’affichage public et des flyers…

Bien sûr le festival est composé d’un trésorier, secrétaire…

De mon côté je m’occupe principalement de la programmation et de la communication du festival.

Louis (Trésorier), Valentine (catering artiste) et Victor (President de l’Asso Festival 666)

Comment sélectionnes-tu les groupes qui constituent l’affiche du festival.

Je m’occupe de la programmation de deux manières. Premièrement, je sélectionne les groupes que j’ai vraiment envie d’accueillir à Cercoux, comme Mass Hysteria ou Gojira. Je leur propose de venir et on s’organise en amont pour le reste. Gojira est mon objectif personnel final dans le metal français ! J’espère un jour les accueillir mais il ne faut pas brûler les étapes.

La deuxième manière est les groupes qui contactent le festival pour venir jouer à Cercoux. Ils sont assez nombreux à nous écrire donc il y’a une bonne liste de choix intéressants. 

Aussi les autres membres de l’asso me proposent des groupes, et je prends contact avec eux par la suite

Comment as-tu vécu l’année 2020 en tant que jeune organisateur de festival ?

Cette année 2020 a été complexe. Le festival devait se dérouler sur deux jours en open air.

Pendant le premier confinement, j’ai attendu de m’assurer d’avoir le Bac au contrôle continu pour m’occuper du report du festival. J’ai trouvé cette année dure dans le sens où le virus a stoppé le bon élan qu’avait le festival. Nous avions organisé deux belles éditions déjà et la troisième allait vraiment être incroyable en raison d’une programmation d’un tout autre niveau que nos deux premières éditions. Le virus a ralenti notre course et j’étais un peu déçu.

C’est d’abord l’un des groupes de la programmation qui m’a proposé dès le 1eravril de reporter le festival. Il s’en est suivi toute une série de débat au sein de l’équipe du festival durant tout le mois d’Avril. J’ai pris la décision de reporter début Mai, et l’ai annoncé le 27 Mai, le temps de me mettre d’accord avec les groupes.

Comme je n’avais pas envie d’annoncer le report du festival simplement en disant aux festivaliers ‘à l’année prochaine’, j’ai annoncé que les détenteurs du pass 2J entreraient gratuitement à la troisième journée que nous sommes en train de préparer.

Édition 2020 – tuée par Covid…

A quoi peut-on s’attendre pour l’édition 2021 ?

Cette année on prépare une troisième édition sur trois jours en open air.

Tous les détenteurs du pass 2J auront cette troisième journée offerte. 

La programmation de la troisième journée est complète et on est très fiers du rendu global de l’affiche ! On a vraiment hâte de voir le retour des festivaliers.

On est en manque de concerts et de pogos, donc on est tous motivé pour préparer une très belle édition 2021 !

Au Japon, les week-ends, c’est deux concerts par jour, sinon rien !

Au pays du soleil levant, on voit les choses différemment et on s’organise en conséquences.

Le groupe d’électro-metal Japonais CROSSFAITH se produira prochainement pour 4 concerts, à raison de 2 concerts par jour, une première fois à Tokyo Samedi 28 novembre et une seconde fois le Dimanche 6 décembre à Osaka.

Du fait d’une réduction de la capacité d’accueil des salles, respectivement le Studio Coast (capacité d’accueil de 2400 personnes) à Tokyo et le Namba Hatch (capacité d’accueil de 1500 personnes) à Osaka, CROSSFAITH se produira donc deux fois dans chaque salle de concert. Les horaires seront les suivants :

Premier concert :

14h30 : ouverture des portes

15h30 : début du concert

Second concert : 

18h : ouverture des portes

19h : début du concert

Le prix du billet sera de 5800 yens, soit environ 47 euros.

Un questionnaire sanitaire sera à renseigner pour chaque personne souhaitant assister au concert et à remettre à l’entrée des salles.

Une alternative à la fermeture des salles concerts ? Cette solution temporaire pourrait bien être une réponse à la production de concerts à venir, tout en favorisant largement la production de groupes locaux dans leurs pays d’origine, pour des raisons évidentes de logistique. Contactée par keufmetal.com, la Direction de la salle Tokyoïte a indiqué que cette pratique était en train de se répandre au Japon.

Pour mémoire, son voisin Taïwanais a accueilli le Festival Ultra Taïwan 2020 il y a une semaine seulement, avec une jauge de 20.000 festivaliers ! Vous pouvez en avoir un aperçu ici : https://youtu.be/D1OFjKiRqZw

Flashback ! Interview de Kerry King

Il y a 5 ans, j’ai eu la chance d’interviewer Kerry King à Paris, alors que le dernier album studio en date de SLAYER « Repentless » venait de paraître. Bien évidemment, à l’époque, j’étais loin de m’imaginer qu’il n’y en aurait plus d’autres à venir et que j’avais donc entre les mains l’ultime album studio de SLAYER. Je vous propose un petit retour en arrière sur cette interview, à partir d’un extrait d’un jeu de questions/réponses auquel a bien voulu se prêter Kerry !

Extrait d’interview avec Kerry King (guitare) – Paris, Le Zéntih, le 26 octobre 2015.

Parlons de « Repentless ». Quand tu regardes les chiffres des ventes d’albums, ils ont été plutôt spectaculaires. T’attendais-tu à cela ?

Non, absolument pas… tu sais, c’est un disque très particulier pour nous parce que je n’ai jamais autant été mis en avant… Il y a eu quelques fois par le passé où j’ai écrit la plupart des trucs, mais jamais à ce point-là. Donc cela a été très bizarre pour nous, tu t’imagines bien… Faire un disque, j’ai toujours trouvé ça génial, je suis toujours un fan et j’ai encore mes propres faiblesses lorsque je me retrouve nez à nez avec Tony Iommi tu sais, les gens nous compare bien souvent en termes de longévité de carrière. Nous ne sommes certainement pas Black Sabbath mais on existe depuis un bail maintenant, et les fans nous voient de la même façon. Et c’est plutôt embarrassant… Mais tu sais, quand on s’est retrouvé pour mettre notre matos musical ensemble, j’étais super fier parce que putain… Ça sonnait ! Est-ce que je manque de recul ? Ou alors je n’ai pas conscience que ce disque est mauvais ? Non, je ne crois pas, je pense sincèrement que c’est un bon disque. Quant aux fans, ils ont peut-être cru que … Je ne sais pas … Qu’on était fini ou un truc du genre… Avec la mort de Jeff, certains ont cru que notre carrière était derrière nous. 

Quant à nous, on pense que nous avons là nos 12 meilleures chansons écrites aujourd’hui ! Tu sais, ça nous a fait l’effet de la seconde guerre mondiale, c’est massif ! Absolument massif ! Je n’aurais jamais imaginé ça sur plusieurs millions d’années ! Numéro 1 en Allemagne, les allemands ont vraiment adoré et se sont bougés le cul pour acheter la version physique du disque ! Les hollandais aussi car nous sommes numéro 2 chez eux. Nous avons aussi une bonne place dans les charts au U.K. Pour moi, les fans de Metal veulent tous avoir un exemplaire physique du disque. Ils veulent l’avoir au cas où ils auraient l’opportunité de la faire dédicacer ou ce genre de choses. Le Metal n’est pas une musique comme les autres, c’est une musique unique au monde et ça, Nuclear Blast l’a très bien compris. Ils ont proposé différents formats pour l’album, tous plus beaux les uns que les autres. Ils ont même sorti des cassettes pour les collectionneurs ! Et la « Big Box » est complètement dingue, ils ont fait un super boulot. Donc bravo à Nuclear Blast et merci aux fans pour leur soutien !

Les morceaux « You Against You » et « Take Control » sont mes deux préférés sur l’album et ils me font penser à tes influences Punk. Es-tu d’accord ?

Pour “You Against You”, oui tu as tout à fait raison ! Celle-là, si je n’avais pas d’influences Punk, je ne l’aurais jamais écrite, c’est clair ! Mais pour « Take Control », je suis moins d’accord. C’est ma chanson préférée dans la catégorie rapide, mais la plus heavy reste pour moi « Vices ». Mais pour en revenir à « Take Control », non je n’ai pas eu d’inspiration Punk pour écrire celle-là.

En tant que compositeur, quelles sont tes principales influences pour écrire ta musique aujourd’hui ?

Probablement les mêmes qu’il y a trente ans. Tu sais, je suis toujours un fan, comme je l’ai aussi dit au gars qui m’a interviewé avant toi (Radio Metal). Donc Sabbath, Maiden, Priest… Deep Purple, Rainbow, tous ces trucs-là, c’est ma came.  Pantera dans un registre plus extrême, le premier album de Machine Head, j’adore cet album, et le dernier aussi, et putain “The Blackening” ! Je ne me souviens pas de tous les titres des chansons ou même des albums, mais il me suffit de jeter un coup d’œil à la pochette d’un album et donc, dès que je vois Machine Head, je me dis : « vas-y Kerry, fonce ! » (rires !).  Donc, je suis définitivement un fan de Metal, on vient de faire la tournée “Mayhem” aux USA comme tu le sais déjà certainement, et on était avec King Diamond. Quand King Diamond est venu vers moi en me demandant si j’étais d’accord pour jouer un titre avec lui sur scène, ce vieil ado de Kerry aussitôt répondu : “putain, mais va te faire foutre” ! (éclats de rires !)  Et bon sang ça a été énorme !!! J’ai joué “Evil” avec King Diamond, on l’a fait sur les quatre dernières dates, j’ai commencé le morceau seul sur scène et c’était si excitant pour moi ! Voilà, c’était juste pour te prouver mon propos ; je suis toujours un fan !

http://youtu.be/0oYZbLVS3Ao

Que penses-tu des groupes issus de la scène “Thrash New School” comme Vektor, Angelus Apatrida et Violator pour ne citer qu’eux ? Penses-tu qu’ils apportent quelque chose de vraiment nouveau ou qu’ils se « contentent » de continuer à faire le boulot que vous avez commencé ?

Je ne sais pas, je ne les connais pas… J’espère qu’ils pondent des bons trucs, parce que tu sais, on ne sera pas là éternellement… Et une fois qu’on sera parti, il y en aura beaucoup d’autres qui partiront en même temps que nous, car on est nombreux à avoir le même âge ! (rires). Donc, je vais écouter ces groupes dont tu me parles car je ne les connais pas.

En parlant de nouveaux groupes, quelle est la principale leçon que tu as apprise dans le métier et que tu aurais envie de transmettre comme un conseil ? 

Je ne sais pas s’il s’agit d’une leçon, mais il y a quelque chose qui fait sens chez moi : ne faites pas de la musique pour faire du fric. Faites de la musique parce que vous aimez ça. Car si vous n’aimez pas ça, les fans s’en rendront vite compte et feront éclater votre truc au grand jour. Voilà. 

Ok merci Kerry. Maintenant parlons un peu des tournées. As-tu le temps de composer quand tu es sur les routes ? 

Tu sais, c’est ce que j’ai fait pour notre dernier album. Parce qu’on a eu plusieurs occasions de le faire quand on était sur la route, tout simplement. Quand on a des journées entières où nous ne nous produisons pas sur scène, cela nous donne l’opportunité de finir ce qu’on a commencé quelques jours plus tôt, en particulier pour la composition des textes de nos chansons. J’aime bien commencer à écrire dès que j’ai un jour « off », donc quand on a trois jours consécutifs sans jouer par exemple, c’est cool pour moi, car je peux trainer dans les rues à me balader, et l’inspiration me vient souvent comme cela. Ça me rappelle comment la chanson « Cast The Firts Stone » a été écrite. On avait trois jours de repos à Athènes, et j’ai passé ces trois jours à marcher dans la ville, à la recherche d’idées, de vibrations particulières, et « Cast The Firts Stone » m’est venue comme ça. On peut donc l’appeler la chanson grecque ! (rires). 

Interview : Keuf

Un grand merci à Valérie et à Nuclear Blast !

Cette fois c’est DIAMOND HEAD qui reprend METALLICA !

Cette fois c’est Diamond Head qui reprend un titre de Metallica !

Commandez le ici : https://smarturl.it/DHLTTN2020

Regardez la vidéo de No Remorse

Lightning To The Nations 2020, la version ré-enregistrée du tout 1er album de DiamondHead (également connu sous le nom de « The White Album ») sera disponible le 27 novembre 2020
Sorti en 1980 ce disque est l’une des pierres angulaires de New Wave Of British Heavy Metal, un disque qui a influencé un bon nombre de groupes. Ça n’est pas par hasard si Metallica a repris 4 titres de cette merveille : « Helpless »,  » It’s Electric « ,  » The Prince  » et bien sur  » Am I Evil ? « 

Âmes sœurs

SCARLEAN

Un groupe, cinq musiciens, deux albums au compteur. Un état d’esprit plutôt singulier : le « fabrication maison ». Mené de mains de maitre par Alexandre Soles (Auteur, compositeur et interprète), SCARLEAN s’attache en effet à tout fabriquer à la maison, enfin… la plus grande partie de ses créations artistiques. Doté de musiciens talentueux, le groupe a le plaisir de contenir en son sein des artistes accomplis, tant sur le plan de l’imagerie (Alex est concepteur artistique et graphiste, Michel est photographe et vidéaste, Olivier producteur et réalisateur audiovisuel) que du son (Fabien est ingénieur du son et détient son propre studio d’enregistrement, et Geo en charge de la conception sonore).

SCARLEAN est entré dans ma vie sans prévenir (un peu comme l’Elite de Trust), comme le font les éléments naturels qui viennent à votre rencontre un beau jour, à la lecture de votre magazine préféré par exemple (en l’occurrence Rock Hard ici), au détour de la chronique de son dernier opus en date, « Soulmates », le bien nommé.

Le verbe de Charlelie Arnaud est rarement fait de compromis, et ne donne pas facilement dans la démesure. Toutes proportions gardées donc, Charlelie Arnaud délivre une très bonne chronique de l’album « Soulmates » dans le numéro de rock hard que je tiens dans les mains en ce beau matin du mois de décembre 2019. Il n’en fallait pas moins pour attirer toute mon attention.

Apéro :

« Comme d’habitude » chantait un certain Claude François, dans ces cas-là, je vais d’abord écouter l’album sur Deezer pour me faire ma propre opinion. Et là : coup de grâce ! Frappé par le timbre de voix d’Alexandre qui me plaît beaucoup, je m’attache très vite aux sonorités « Kornesques » qui se dégagent de l’album. En tant que fan de KORN (j’apprendrai par la suite qu’Alexandre est un inconditionnel du combo californien de Bakersfield), je vais trouver le premier titre « Next To The Maker » tout à fait à mon goût ! Le groove et l’énergie qui se dégagent de ce morceau me conviennent au plus haut point. Immédiatement, je note le potentiel de chant d’Alexandre, proche d’un certain Mike Patton lorsqu’il s’adonne à des envolées lyriques.

Hors d’œuvre :

Très vite, SCARLEAN attaque dans le dur, avec « Haters », second morceau de l’album. Un morceau « loud & heavy » à souhait, disposant d’une rythmique pachydermique agrémentée d’arrangements subtiles et d’un chant tout en contraste. On comprend assez vite que le groupe n’est pas là pour rigoler. L’écriture des morceaux est très travaillée et variée, on ne s’ennuie pas dès la première écoute et on en redécouvre encore et toujours après plusieurs écoutes. Néanmoins, ce côté « ultra » qualitatif des compositions n’enlève rien au groove qui reste un maître mot chez SCARLEAN.

Plat de résistance :

« Wasting My Time » en est l’illustration parfaite ! Troisième titre de l’album (et l’un de mes favoris au passage), cette chanson dispose de tous les attributs nécessaires pour faire trembler les murs et vibrer une âme ! Une intro « nirvanesque », un couplet « new metal » très prononcé (Korn rôde encore dans les parages), et un refrain à la Faith No More !

Puis vient le titre « Pefect Demon », désarmant au possible, tel un mirage au beau milieu du désert. Sombre et mélodieux à la fois, ce titre voit Alex (chant) métamorphosé en crooner ! Une belle ballade avant de reprendre de plus belle avec le tonitruant « Treat Me Bad ». Un morceau au titre aussi évocateur que dérangeant, à l’instar de sa musique. Les arrangements y sont sublimes. La rythmique est, quant à elle, époustouflante d’ingéniosité et regorge de feeling. Un morceau qui ne laisse donc pas indifférent, et c’est peu dire.

Mais, car il y a un mais, nous ne sommes pas encore au bout de nos surprises. Lorsqu’arrive le chant a capella d’Alex sur le titre « You’ll Never Know », la déroute s’empare de nos sens… puis, chemin faisant, ce morceau va crescendo prendre le chemin de la folie douce, avec une virtuosité assez déconcertante, il faut bien le dire. Encore une fois, Alex à la manœuvre y délivre une performance vocale des plus bluffantes, pour finir en apothéose.

Dessert :

C’est alors que, croyant être arrivé au bout du chemin, on se dit que l’on a déjà tout entendu (ou presque). Alors qu’à peine la moitié de l’album vient de s’écouler, on en est droit de craindre le pire.

Et là, tel un félin tapit dans l’ombre en guettant sa proie, SCARLEAN sort le grand jeu. Les titres qui vont s’enchaîner ne laisseront plus aucun répit à l’auditeur averti et déjà imprégné par l’univers du groupe. “Our World Will Surely Stop”, “A Lie To Remember”, “Ego” et “The Smell Of The Blood” auront raison de vos cages à miel ! Difficile de classer ces titres tant ils apportent chacun leur tour leur pierre à l’édifice. La magie opère et vous laisse un goût immédiat de « reviens-y ».

Cerise sur le gâteau :

Anneke Van Giersbergen interprétant en duo la chanson « Wonderful Life » du groupe BLACK avec Alexandre… comment dire ? What Else ?

WE WANT MORE !

Alex : chant

Geo : guitare

Michel : guitare

Olivier : basse

Fabien : batterie

https://youtu.be/XRo3ZJgHPa0

https://www.youtube.com/playlist?list=OLAK5uy_kswUkBpqjgPug7KJZ9mHLmk45-2i_ebXM

Kaviens, Kaviennes, WE ARE BACK !

Après 4 ans d’existence, et une année de Kovid, le Kave Fest passe du festival Konvivial dans un jardin, au festival tout aussi unique dans un CHÂTEAU !!!

Malgré une faible visibilité sur l’année 2021 compte tenu de la situation actuelle, sachez que nous travaillons d’ores et déjà à vous offrir la meilleure édition possible !

En effet, pour 2021, la Kave vous propose une affiche toujours plus hétéroclite et diablement plus dingue !

Et comme promis, s’ajoutent à l’affiche 4 groupes issus des éditions précédentes, ainsi qu’un groupe local !

Voyez plutôt :

Arkona(Folk Metal)

Novelists FR (Metalcore)

Aephanemer(Death Melo)

LANDMVRKS(Hardcore)

Bukowski(Power Rock)

ACYL أصيل ⴰⵚⵉⵍ(Ethnic experimental metal)

Scarlean(Alternative Metal)

Volkor X(Synthwave)

Xaon(Death Sympho)

Freak Injection(Electro Rock Industriel)

Fractal Universe(Djent)

Promethean (Technical Death)

Red Mourning (Official Fan Page)(Southern Metal)

Gohrgone(Death)

JADES(Rock)

CHABTAN(Modern Death Metal)

Monolyth(Thrash Melo)

Silverstage(Heavy Metal)

HARSH (Glam)

Balls Out(Rock’n’Roll)

Sans oublier de remercier tous nos partenaires, toujours présents malgré le report de 2020, pour leur soutien

eMaginarock

MusikÖ_Eye

BYB – La French Binch

United Rock Nations

HARD FORCE

Metalorgie

et surtout la ville de Gisors

ainsi que toutes les futures personnes qui rejoindront l’aventure !

Prenez soin de vous, et à très vite !

La Kave

Lien de l’évenement : https://www.facebook.com/events/254530082588717/

MetalDays 2021 nouvelle annonce !

Nous sommes heureux de vous annoncer la participation d’Anthrax, Paradise Lost, Perturbator, Déluge et Jegulja pour la prochaine édition du festival MetalDays. Cette annonce finalise l’affiche de l’édition 2021 !

500 pass sont encore disponibles à la vente.

Comme vous le savez, le Festival MetalDays est limité à 12000 festivaliers seulement. Une fois complet, le festival ne remettra pas de pass en vente.

Si vous n’avez pas encore pris vos billets, les 500 derniers sont disponibles ici : https://giggome.com/gigshow/552-metaldays-festival-2021

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